Leurs premiers pas chez Avanade… confinés chez eux

Malgré le confinement, les nouvelles recrues d’Avanade ont été intégrées comme prévu mais… à domicile. Dans un contexte tout sauf ordinaire, elles ont découvert leur nouvelle entreprise, tissé du lien et gardé le contact avec leurs collègues.
Retour d’expérience en trois phases clés.

Télétravail : être bien équipé pour partir du bon pied

Lundi 16 mars, 11h50. Gabriel a vingt minutes pour prendre possession de son ordinateur au siège d’Avanade. L’entreprise a déjà anticipé le confinement, effectif dès le lendemain. Ce devait être le jour J pour seize nouveaux venus. Personne ne se croisera. Locaux vides, marquage au sol, distanciation de rigueur : tout a été pensé pour récupérer le matériel en parfaite sécurité.

« Tout était très cadré, cela m’a rassuré sur la manière dont allait se passer l’onboarding, se souvient Gabriel, business developer pour Dynamics 365. Le PC était déjà configuré pour pouvoir se connecter depuis chez nous ».
Son ordinateur, Amélie l’a reçu par la Poste quelques jours avant la date de son intégration officielle, le 6 avril. Stagiaire du service Software Engineering, cette étudiante est alors confinée dans son appartement d’étudiante à Laval. Qu’importe ! Elle sera dotée, dans les temps, du PC nécessaire à une bonne intégration.

Avec du matériel performant, un PC muni de Teams, l’application de communication et travail partagé de Microsoft : la phase active du onboarding peut alors commencer.

Une bulle de normalité pour deux journées d’échanges

La visioconférence n’était une découverte pour personne… sauf pour la session d’intégration !
Caméra branchée, dans sa cuisine pour Gabriel, depuis son bureau pour Amélie, les nouvelles recrues ont assisté à deux journées d’échanges autour d’Avanade. Au programme : sessions d’information sur les RH, le SI, la gouvernance, les valeurs, la sécurité des données, le bien-être au travail, un atelier sur le consulting…

« Cela a amené de la normalité car nous avions le même contenu malgré la distance, note Gabriel. Notre DG, Emmanuelle Berthier, a même pris le temps d’échanger avec nous. Au bout de deux jours, je me suis senti important et ultra motivé ! ».

Amélie a également rapidement été à l’aise « parce que les stagiaires sont placés sur le même plan que les personnes embauchées. Je ne pensais pas que l’on pouvait être chaleureusement accueilli en visio. Et pourtant si ! ».

Des contacts réguliers pour tisser des liens malgré le confinement

A ces premiers contacts a succédé la plongée dans l’opérationnel. Avec une communication toujours aussi régulière. Gabriel et Amélie ont (virtuellement) rencontré leur manager, « buddy », « carrier advisor » et collègues dès le lendemain du onboarding et continuent d’échanger fréquemment avec eux.
« C’était important de se parler tout de suite : cela crée un esprit de groupe et de l’émulation. » estime Gabriel.

Réunions quotidiennes, pauses café virtuelles, e-afterworks… permettent de garder le cap et… le lien.
« C’est la pire période qui soit pour commencer un stage… pourtant je suis sereine, confie Amélie. Je n’ai jamais mis les pieds chez Avanade mais je me sens pleinement intégrée ! »

Cher à Avanade, le sentiment d’appartenance a résisté au confinement.